Qu'est ce qui se passe en Géorgie?

Depuis 8 Août la Géorgie subit le bombardement de la part de la Russie.

Les bombes des avions russes sont jetées dans presque toutes les régions de Géorgie.

Le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner, arrivé dimanche en Géorgie présente un plan de paix afin de résoudre le conflit entre Tbilissi et Moscou. Les trois points principaux presents dans ce plan soutenus par l'UE sont: respect de l'intégrité territoriale de la Géorgie, cessation immédiate des hostilités et rétablissement de la situation existant antérieurement sur le terrain.

Aide à la Géorgie : Informations pratiques pour les dons

Association Géorgienne en France

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Fonds d’aide aux réfugiés, à l’adresse suivante :Othar Zourabichvili – Président de l’AGF - 3 rue de l’Asile – F 78400 CHATOU

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Association Géorgienne en France - Caisse d’Epargne Ile de France Ouest, 8 bis rue de Maurepas – 92500 RUEIL-MALMAISON : compte référence : IBAN FR76 1786 5006 0008 2759 3107 445. Spécifier la destination des sommes virées :
Fonds d’aide aux réfugiés.

· Les fonds recueillis seront directement transférés à l’organisation : ACTS GEORGIA (A Call To Serve) (celle-ci constituée de médecins géorgiens œuvre depuis plus de 10 ans pour l’aide humanitaire en Géorgie). Ces fonds seront spécifiquement destinés aux achats de première nécessité pour les réfugiés.

Association Nantes-Tbilissi

· Par chèque :
Libellé du chèque : Association Nantes-Tbilissi – 1, Rue Pelleterie – 44000 Nantes

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Appel aux politiques à soutenir activement La Géorgie

Monday, September 8, 2008

Liberation.fr annonce

A Moscou, Sarkozy négocie avec un Medvedev peu conciliant
Le président russe estime qu'il applique le plan de paix négocié en août avec son homologue français. Il s'oppose par ailleurs à une mission de l'UE en Géorgie.
LIBERATION.FR (AVEC SOURCE AFP)
LIBERATION.FR : lundi 8 septembre 2008


Un «comportement responsable». C’est ce qu’attend Nicolas Sarkozy de la Russie dans le conflit avec la Géorgie. Il l'a dit ce lundi à son homologue Dmitri Medvedev, lors d'une rencontre près de Moscou. Les 27 «veulent la paix, la confiance et de bonnes relations de voisinage, mais de la même façon que nos amis russes défendent leurs convictions avec force, l’Union européenne a aussi des principes et des convictions», a déclaré le président en exercice de l’Union européenne.
«Je partage le point de vue de M. Medvedev : l’accord en six points que nous avons négocié est une bonne base de départ. C’est un accord qui doit être mis en œuvre […] Je ne doute pas que si chacun veut avoir un comportement responsable, nous trouverons des solutions», a dit Nicolas Sarkozy.

Medvedev a pourtant estimé que «tous les efforts nécessaires avaient été accomplis pour un règlement (du conflit) conformément au plan Medvedev/Sarkozy», mais qu’une situation nouvelle était apparue après la reconnaissance par Moscou des républiques séparatistes géorgiennes d’Ossétie du Sud et d’Abkhazie.


Faire revenir les Russes sur les positions antérieures au conflit

Sarkozy, qui est accompagné du président de la Commission européenne José Manuel Barroso et du diplomate en chef de l’UE Javier Solana, effectue cette visite avec un mandat précis formulé lors du sommet de l’Union Européenne du 1er septembre : faire revenir les troupes russes sur leurs positions antérieures au début du conflit, le 7 août.

Après Moscou, Sarkozy, Barroso et Solana rallieront lundi soir Tbilissi pour redire leur soutien au président géorgien Mikheïl Saakachvili et lui livrer les résultats très attendus de leur discussion avec le locataire du Kremlin.

Si la crise se poursuit après la rencontre de lundi, l’UE «devra être plus ferme» avec Moscou, a averti le chef de la diplomatie français Bernard Kouchner, évoquant notamment la création d’une «centrale européenne d’achat de gaz» pour réduire la dépendance énergétique de l’UE à l’égard de la Russie. L’annulation du sommet UE-Russie du 14 novembre figure parmi les sanctions possibles.

Un plan de paix avec des zones d’ombre


Le 12 août, Nicolas Sarkozy avait négocié seul et dans l’urgence à Moscou un plan de paix qui lui a valu des critiques en raison de zones d’ombre sur lesquelles la Russie s’appuie aujourd’hui pour justifier le maintien de ses soldats en Géorgie, au-delà des régions séparatistes d’Ossétie du Sud et d’Abkhazie.

Sarkozy souhaite obtenir des avancées sur trois points : un calendrier précis pour le retrait des troupes russes, des discussions internationales sur l’avenir de l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud et le déploiement rapide d’observateurs de l’UE en Géorgie. Mais la Russie s’est opposée à une telle mission – qui «conduira à une fragmentation superflue» des missions de l’ONU et de l’OSCE déjà présentes sur place, selon Moscou – avant même que le président français n’entame ses discussions avec son homologue russe.


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